Extrait du journal

— Bazin, mon ami, dit Aramis, Je crois que vous vous mêlez à la conversation. Bazin comprit qu’il était dans sou tort; 11 baissa la tête et sortit. — Ah I dit d'Artagnan, avec urf sourire, vous vendez vos pioductions au poids de l'or; vous ôtes bien heureux, mon, ami; mais prenez garde, vous allez perdre cette lettre qui sort de votre casaque, et qui est sans doute aussi de votre librairie. Aramis rougit Jusqu'au blanc des yeux, renfonça sa lettre et reboutonna son pour point. — Mon cher d'Artagnan, ditril, noua allons, si vous la voulez bien, aller trouver nés amis; ot puisque je suis rtchê, nous re commencerons aujourd’hui à dîner ensemble en attendant que vous soyez riche à votre tour. — Ma fol f dit d’Artagnan, avec grand plaisir. Il y a longtemps que nous n’avons fait un dîner convenable, et comme J’ai pour mon compte une expédition quelque peu hasardeuse à faire ce soir, Je ne serais pas lâché. Je l’avoue, de me monter un peu la tâta avec quelques Bouteilles de vieux...