Extrait du journal

LA SORCIERE ROUGE DEUXIÈME PARTIE L’AMANT D’OLYMPB — Maintenant, poursuivit-il quand il lui sembla due les traits de la jeune femme exprimaient moins d'épouvante folle, maintenant que les mas ques sont tombés et que nous nous connaissons iim l’autre, nous alloua jouer cartes sur table. J ai besoin de vos services et je les payerai bien, vous n'en pouvez douter, car on a dû vous dire que je suis généreux; mais je ne sollicite plus, j ordonne. Ver-diseuse de bonne aventure fit une suprême tentative de résistance. — Et si je n'obéissais pas? murroura-t-elle. — Vous êtes absolument dans ma dépendance. Je vous tiens et vous ne me tenez pas. Vous êtes décrétée de prise de corps; il me suffirait de pré venir un de MM les commissaires de la ville du Puy que « Françoise Arzac » et « Simone Raymond » ne sont qu'une seule et même femme, pour que les cavaliers de la maréchaussée viennent faire un tour ici dés ce soir. Moi qui vous parle, au con traire, je suis, par lettres patentes du roi, déclare parfaitement innocent de toutes les accusations portées contre moi. Vous voyez que je puis vous perdre, et je n’hésiterai pas un instant si je ne vous trouve docile à mes volontés. — Monsieur le marquis, balbutia Simone d une voix brisée, ayez pitié de moi, je vous le demande ^ î? Vous n’avez oui besoin de ma pitié, ma chère....