Extrait du journal

QUATRIÈME PARTIE. (Suite). (1) — Mme Ingeburge pleure et prie... répliqua le Syrien, dont la voix s’adoucit tout à coup, — pleure sur toi, prie pour toi... Il y a quatre jours, quand je m'introduisis à ce monastère où tu l'avais emprisonnée, c'était pour l'assassiner, car on m'avait dit que j’aurais le sang du roi en échange du sang de la reine... Dieu est grand : la main de Dieu se mit au devant de sa main.... Je via l’image de Dilah, comme un bel ange qui déploie ses ailes, descendre et protéger le cœur de la sainte... Et quand tes soldats entrèrent dans l'abbaye, j'eus peur de toi comme j’avais eu peur de ton peuple, car j’étais déjà l’esclave de la reine Angel. — Ne souris pas, roi!... s’interrompit-il. — Nous pari ons tout à l’heure de mon destin à moi, pauvre ver de terre : c’est ton destin à toi, puissant...