Extrait du journal

pauvre <§Qüboa l Pauvre Boubou 1 La déveine Gifle ton toupet d’argent. Et le voilà pataugeant Dans un cloaque affligeant Qui ne sent pas la verveine. O triste, triste Boubou Dont les rouleaux sont à bout, " Devant ta décrépitude, Notre mépris motivé Tourne à la mansuétude. Qui donc n’a pas éprouvé. Dans ces jours où l’on transpire, Cet apitoiement qu’inspire L’aspect d’un carcan crevé Abattu sur le pavé 1 Pauvre Boubou f quelle guigne l Il faut l’avouer, ma foi, Les proverbes (c’est indigne !) Svat aussi menteurs que toi I Si quelqu’un pouvait prétendre A la veine sans accrocs, Et voir sortir, sans attendre, Toujours les bons numéros, Gî tait toi l car de « la Haute ». Et riche à plus d'un écu. Tu devais avoir sans faute. Une chance de cossu I Las! le proverbe a menti. Serait-il de du Paty î Le Patronne!....