Extrait du journal

familles ouvrières menacées dans leur nourriture essentielle, ne montreront point cette résignation trop facile. Elles n’ont Sas, comme les ministres, des synicats de spéculateurs à protéger. Elles veulent leur pain quotidien, et la disette qui les menace, relative il est vrai, mais bien cruelle tout de même, ameutera con tre le ministère de famine et d’abjection morale qui épuise notre malheureux pays, les colères et les malédictions, Le salut coûte parfois cher. GÉRAULT-RICHARD. — LA RÉACTION EN ALLEMAGNE...