Extrait du journal
- wyamByçMg»gawae-.f.*■ * "-=*w ' toujours, vous êtes dans les meilleures dis positions pour aller vous battre, vous, Guy, et vous, José; car si vos âmes sont immor telles, vous ne risquez dans la bataille que i vos corps mortels, et, ma foi, ce n’est pas ' la peine do s’occuper do cette misère. Te nez, moi, tel que vous me voyez, je suis vieux, je suis fatigué, presque infirme, j’ai tout à gagner en changeant de pelure. Un corps tout neuf fera bien mieux mon af faire que l’ancien, qui est déjà tout use. C’est ainsi que le vieux savant, moitié gai, moitié sérieux, nous encourageait à la bataille. Et je crois qu’au fond, comme il le di sait, il était tout à fait disposé à changer de pelure. Nous arrivâmes enfin tous les trois, à l’entrée de la rue de la Coutellerie. Nous avions déjà franchi une trentaine do bar ricades. Ce genre de constructions, si connu de tous les Parisiens et qui semble un fruit particulier du climat, n’a pas besoin d’élre décrit longuement. Un omnibus, deux ou trois charrettes do porteurs d’eau, deux ou trois troncs d’ar- i bres coupes tout exprès quand on est sur une place ou sur un boulevard, "ne multi- !...
À propos
La Petite République française – puis socialiste de 1898 à 1905 – fut une feuille républicaine à cinq centimes lancée en 1876 qui connut un succès relatif dans les premières années de la Troisième République. Satellite de La République française de Gambetta, les deux publications deviennent indépendantes en 1878 avant que la diffusion du journal ne s’amenuise à la mort de ce dernier en 1882.
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