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La Petite République, 9 octobre 1908

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La Petite République
9 octobre 1908


Extrait du journal

le parti militaire brûle de combattre. Les Bulgares, sans aucun doute, ne demanderaient pas mieux. Ils sont dans la situation de gens qui, s’étant imposé des sacrifices énormes pour leur armée, lie seraient pas fâchés de s’en servir. La sagesse des Jeunes-Turcs ayant contraint le prince Ferdinand à garder l’épée au fourreau, son gouvernement s’ingénie à trouver un autre prétexte et croirait l’avoir trouvé, dit-on, dans ce que la note ottomane est injurieuse pour la Bulgarie 1 Une vraie querelle de... Bulgare 1 Cela montre qu’il est grand temps d’aviser. Or le seul remède est la réu nion d’un congrès. Il n’est peut-être pas fameux, car l’opération sera déli cate, mais comme on n’en aperçoit pas d’autres, il n’y a pas à hésiter. L’Autriche assumerait aux yeux du monde civilisé une lourde responsabi lité si, par sa faute, par ses atermoie ments, elle donnait au feu qui couve le teams de se déclarer»...

À propos

La Petite République française – puis socialiste de 1898 à 1905 – fut une feuille républicaine à cinq centimes lancée en 1876 qui connut un succès relatif dans les premières années de la Troisième République. Satellite de La République française de Gambetta, les deux publications deviennent indépendantes en 1878 avant que la diffusion du journal ne s’amenuise à la mort de ce dernier en 1882.

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