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La Petite République, 12 juillet 1898

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La Petite République
12 juillet 1898


Extrait du journal

las tribunal do simple police a con damné la duchesse d'Lzès à 0 francs d’amende pour avoir conduit son automobile à une vitesse exagérée. (Les journaux). La duchesse avant chauffé, Teuf-touffé, Et sous son automobile Boulé maint piéton débile. Tant elle allait vite et dru Dans son engin incongru, Se vit, en simple police. (L’air est pur. la route est lisse). Traduire par des vassaux Qui voulaient sauver leurs os, « Co pays devient immonde, — Songea-t-elle, — si le monde Se met à pousser des cris Pour quelques membres meutris I » Tout juge a l’amende amère, C’est là son moindre défaut : — « Conduisiez-vous comme il faut f Du tout, ma petite mère! » — « Cependant, à tout venant Je cornais, ne vous déplaise! » — «Vous corniez? j’en suis bien aise, Eh bien I casques, maintenant I » Autre morale Cent sous ! Cent soust Pour écraboulller quiconque, Par la corne et par la conque l Q'esliiour jiçu. Gare dessous I...

À propos

La Petite République française – puis socialiste de 1898 à 1905 – fut une feuille républicaine à cinq centimes lancée en 1876 qui connut un succès relatif dans les premières années de la Troisième République. Satellite de La République française de Gambetta, les deux publications deviennent indépendantes en 1878 avant que la diffusion du journal ne s’amenuise à la mort de ce dernier en 1882.

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