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La Petite République, 14 novembre 1901

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La Petite République
14 novembre 1901


Extrait du journal

LE FAUSSAIRE Il avoue, le misérable. C’était un faux, il le reconnaît cyniquement. Obligé d’abord de dire que c’est à tort qu’il m’a diffamé, il me fait diffamer les autres. Mais M. Maurice Charnay répondit : « Ce n’est fias moi qui me suis vendu, c’est le journal. » Et a somme est spécifiée. Le tout doublement souligné, en grosses lettres noires, pour montrer aux lecteurs de VAurore à quel point M. Gohicr en était sûr. Je le défie de préciser. Voici sa réponse : « Je n’ai pas du tout donné le» termes connue authentiques. » Inutile d’insister : il se juge. Pauvre garçon I Sa longue campagne finit par une piteuse reculade et une ignominie. On lui croyait de la dent. Il lève les ba bines, et l’on voit qu’il bave, mais qu’il ne peut mordre. Laissons ça I M. Ch....

À propos

La Petite République française – puis socialiste de 1898 à 1905 – fut une feuille républicaine à cinq centimes lancée en 1876 qui connut un succès relatif dans les premières années de la Troisième République. Satellite de La République française de Gambetta, les deux publications deviennent indépendantes en 1878 avant que la diffusion du journal ne s’amenuise à la mort de ce dernier en 1882.

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