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La Petite République, 21 août 1896

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La Petite République
21 août 1896


Extrait du journal

j’ai tous étudiés comme ministre des travaux publics, dirai-je, deux me semblent supérieurs, la femme et vous. (Passant sa main sur son crâne dénudé.) Mais l’em pire de la temme passe et lasse : le vôtre est éternel. » Billot (intervenant). — Ce qui me plait en mon collègue Turrel, c’est qu’il parle toujours de femmes. Lui seul suit ici la politique vraiment française. Car sans la femme pas d’enfants, sans enfanta pas de soldats, sans soldats pas d’armée et sans armée, nom d’un chien, plus rien, rien !...

À propos

La Petite République française – puis socialiste de 1898 à 1905 – fut une feuille républicaine à cinq centimes lancée en 1876 qui connut un succès relatif dans les premières années de la Troisième République. Satellite de La République française de Gambetta, les deux publications deviennent indépendantes en 1878 avant que la diffusion du journal ne s’amenuise à la mort de ce dernier en 1882.

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