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La Petite République, 30 août 1893

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La Petite République
30 août 1893


Extrait du journal

les facteurs, l’admission des ambulants dans le service actif pour la retraite, toutes ces questions, si capitales pour le personnel, réclameraient une solution immédiate. On ne peut rien demander au ministre. 11 est d’abord l’esclave de son directeur. De plus, M. Terrier ne peut plus faire il lusion à personne. On a pu juger sa singu lière attitude et son hostilité vis-à-vis d«fs agents, qui demandaient a pétitionner. 11 ne faut rien attendre de cet homme que sa chute, qui sera prochaine et définitive. Mais, à la veille des élections, le petit personnel des postes, auquel le gouverne ment réactionnaire que nous subissons a bien voulu laisser encore son droit de vote, à la veille «les élections, ce petit personnel pourra agir. Qu’il choisisse bien et «pi’il vote. C’est à la Chambre à résoudre les questions, et à faire les reformes. René Vivian!. TROUBLES EN ESPAGNE...

À propos

La Petite République française – puis socialiste de 1898 à 1905 – fut une feuille républicaine à cinq centimes lancée en 1876 qui connut un succès relatif dans les premières années de la Troisième République. Satellite de La République française de Gambetta, les deux publications deviennent indépendantes en 1878 avant que la diffusion du journal ne s’amenuise à la mort de ce dernier en 1882.

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