Extrait du journal

Selon l’auteur, nos désastres de 1870 sont dus, au point de vue technique, à la dispersion, dès le début, de nos forces à portée immédiate de l’ennemi, et au manque de résolution dans l’abandon d’une zone de terrain frontière que notre armée ne pouvait défendre, vu les conditions d’infériorité où elle se trouvait. — Eh bien, nous serions prêts à retomber dans les mômes fautes. Le contact immédiat de nos troupes de couverture avec celles de l’ennemi, assure le colonel Humbert, nous prépare pour la guerre prochaine des débuts aussi tristes que ceux que nous,avalusf en 1870, l’éparpillement de nos corps d’armée sur la frontière....