Extrait du journal

C’est à la requête de M. Brisebarre que l’on va attacher le grelot. Il y a plus d’un procès à faire, mais on commencera par attaquer la traduction des Pauvres de Paris. La cause va être déférée aux tribunaux anglais, il est à croire que dans ce procès là, M. Brisebarre sera plus heureux que dans celui qu’il avait derfièrement intenté à M. Florentine. Il a appris à ses dépens qu’il devait reconnaître les droits delà critique, quand ses ouvrages seuls sont en jeu ; de son côté, la critique est la première à plaider sa cause età appuyer sa juste réclamation contre les contrefacteurs anglais....