Extrait du journal

ciguy avait le cœur trop haut placé, je le sais, pour ne pas obéir à i’aiqxl d’un mou aul! — Un mourant ! balbutia le comte; pour vous, pour vo tre fille, pour vos amis, j’espère encore... Laurent leva lentement la main et désigna une pendule : qui en ce moment sonnait les heures. — Il est midi, interrompit-il, (l’une voix calme; à une heure cette fièvre pernicieuse, qui en peu de jours a ruiné ma constitution, va me reprendre... ou m’a prévenu , cet accès peut ênc le dernier; je dois donc mettre ordre à mes affaires et à ma conscience... Asseyez-vous, M. le comte, j’ai bien des choses à vous dire pour le peu de temps qui me reste. Alfred s’agit en face du malade ; Thérèse s'était placée bien près de son père afin d’être à portée de le servir. Elle avait pris une de ses mains et elle la serrait contre sa poi trine eu regardant le comte. —Eli bien! je pue homme, dit le manufacturier, après une pause, la victoire s’est do: cdéclarée pour vous? Dans cette lutte longue et acharnée, où je paraissais si puissant, où vous sembliez si faible, j’ai été vaincu ; c’est vous maintenant qui pouvez vous montrer généreux... Regardez moi, continua...