Extrait du journal

« Fous que vous êtes ! nous dit-on encore aujourd'hui. hui. Ne voyez-vous pas que l'Italie xa mettre le feu à FF.Uripe } Ne voyez-vous pas le péril que constitue, |x>ur tous nos empires africains, les vôtres tout comme les nôtres, ses prétentions coloniales ? Nous détournerons de vous notre droite si vous ne vous jetez pas immédiatement en travers de sa toute, pour l’empêcher de commettre un crime contre la civilisation. Vous dites que ces entreprises africaines, nous en avons tous commis de semblables ? C’est possible : mats c’est de l’histoire ancienne. On n’avait pas encore inventé la Société des Nations. Et nous tenons à la Société des Nations — quand elle protège des traités qui ne nous gênent pas. Nous y tenons moins quand nous signons des accords navals à notre guise, parce que vous lui demandez de conserver au delà de toutes mesures un traité de paix que nous avons signé, certes, mats dont l’exécution stricte gêne notre finance et notre commerce. Peu importe, d ailleurs. Faites vite. Ou bien nous nous isolons ! »...