Extrait du journal

— Non, renseigna Pierre. Elle est venue à la maison, où ma mère aurait infiniment désiré la garder ; par malheur, elle n’a pu s’acclimater. Il faut vous dire qu’elle a été élevée en ploie montagne, dans un merveilleux château entouré, tapi*sé do fleurs, et pour delà nommé le Château-Fleuri. Avant mon départ,nons avons dù la ramener drus cat incomparable cadre de ea libre et, je p*n«e, un peu sauvage enfance. Mais la plus belle résidence, la plus aimée, semble morne quand le chagrin l’habite avec nous. Depuis la mort de son valvule, Josette est possédée d’une inquiétude étrange. Pré voyant quelle elle souhaiterait venir à Pans, elle m’a chargé de trouver une maison où elle puisse descendre. Il lui faut l’isolement relatif d’une pension dite de famille, que votre soUichude saura lui choisir, car, outre le deuil qui l’accable, la pupille de mon père subit un drame intime passablement déconcertant... Je me suis donné la tâcher d’éclaircir ce problème moral où la pauvre Josette se perd, et vous pouvez m’y aider, mes amis....