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La Revue de l'Yonne, 29 janvier 1920

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La Revue de l'Yonne
29 janvier 1920


Extrait du journal

Le chef suprême de l’armée reste toujours le ministre ; c’est obligatoire puisque le ministre seul se trouve responsable devant les Chambres, et que, d'ailleurs, conformément à h loi, la conduite générale de la guerre appartient, au gouvernement ; par les mots « conduite générale de la guerre », il va de soi que l’on entend les grandes lignes directrices, diplomatiques ou autres, qui dominent et qui doivent dominer les conceptions militaires, fût ce les plus vastes et qn’il ne s’agit nullement de l’exécution même de ces conceptions. D’ailleurs, si, théoriquement, ce chef suprême, mais transitoire, est l’homme de la rue Saint-Dominique, il a à ses côtés un Conseil supérieur et un état-major permanents, placés sous l’autorité du général qui, au moment d’une guerre deviendrait automagiquement le généralissime, et qui, pendant la paix, doit être obligatoirement consulté sur toute question se rapportant au bon fonctionnement de l’instrument militaire dont il devra éventuellement faire usage. Ces points sont essentiels....

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