Extrait du journal

La loi des huit heures étant aujourd’hui un fait acquis, il semble bien que le contrôle ouvrier dans les usines soit devenu le cheval de bataille de la G. G. T. Ni la participation aux bénéfices, ni l’arbitrage obligatoire qu’on lui propose actuellement par la voie parlementaire ne la retiennent un seul instant. Elle les refuse purement et simplement pour des raisons diverses qu’il n’entre pas dans notre sujet d’examiner ici. Mais le contrôle ouvrier, voilà oe qu’elle réclame et prétend même réaliser de gré ou de force....