Extrait du journal

Notez qu’en cas de guerre prochaine, le triennal voté par l’ancien Reichstag suffisait. Mais si M. de Bismarck avait essuyé un échec électoral, il aurait peut-être déclare la guerre à la France par dépit, pour faire diversion et rétablir son prestige. Afin d’écarter ce danger, les électeurs allemands ont abandonné les progressistes, adversaires du septennat, et nommé en foule des nationaux-libéraux, qui en sont partisans. « Ce que vous voudrez, ont-ils répondu à M. de Bismarck, pour que vous ne vous mettiez pas en colère! »...