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Extrait du journal
(Deuxième article (i). Si nous avons cité Moïse, ce n’est point pour nous couvrir de l’autorité de son nom, dans notre définition de Dieu, qui est, pour nous comme pour lui, l’Etre compris dans son unité et dans son infinitude, mais parce que nous voulons appeler en témoignage l’œuvre du législateur des Hébreux dans la question de la personnalité divine, afin de montrer, par son exemple, l’erreur où l’on tombe lorsqu'on place l’Infini dans un être particulier, qui n’est alors, quoi qu’on fasse, qu’une abstraction réalisée. Nous mettrons en même temps en présence du Dieu un de Moïse, l’Unité divine, comme nous la connaissons. Beaucoup, sans ce parallèle, ne comprendraient pas notre idée de Dieu. Nous compléterons ainsi le travail critique commencé dans les numéros 14, 15 et 16 de la Revue, qu’une mise en demeure acerbe et prématurée est venue interrompre. On verra alors comment, en suivant une bonne méthode, on peut affirmer à la fois, sans aucune contradiction, la personnalité de Dieu, son ubiquité et son infinitude....Espace abonnés
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