Extrait du journal

De 1889 à 1900, ç’avait été le bel épanouissement des recherches, des tentatives souvent heureuses. Après des essais, des tâtonnements puérils et bizarres, ce mouvement devenait fécond, logique, équilibre. 1 semblait qu’ayant assimilé à notre goût le naturiste japonais et divers apports étrangers, nous eussions pris conscience de nos ressources et de nos besoins. Un beau champ s’ouvrait à l’activité des artisans, laissant à chacun la liberté de s’exprimer suivant son tempérament et sous quelques réserves indispensables — suivant sa conception des formes et du décor. . ....