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La Semaine mondaine, 21 juillet 1935

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La Semaine mondaine
21 juillet 1935


Extrait du journal

Il est cependant indéniable, sans qu’il y ait lieu de s’appesantir sur ce sujet-ci, que l’effet des rayons solaires peut ers bienfaisant, mais, comme en dehors des rythmes et des desquamaétions de la peau, l’insolation peut avoir des effets dongs 'eux ; les baigneurs ne devraient jamais se faire ii radier sur les plages, sans demander auparavant des conseils à un médecin Car l’insolation prolongée amène ce qu’on appelle communément les coups de soleil ou coups de chaleur. Ceux-ci provoquent, quand il ne s’agit que de troubles vaso-moteurs, de la faiblesse avec des sueurs, des vertiges, de l’oppression, de l’angoisse, disparaissant assez rapidement si on met le malade à l’ombre, en l’aérant et en lui faisant boire sucré, alors qu’au contraire ils peuvent donner naissance à des incidents plus graves, avec perte de connaissance, œdème et congestion des viscères, des poumons, du cerveau et des mélanges capables d’entraîner la mort....
Semaine mondaine

À propos

La Semaine mondaine est un hebdomadaire fondé et édité à Avignon par Amédée Gros, s’intéressant aux questions politiques, littéraires et mondaines. Son premier numéro est daté du 16 février 1887. Forcé à interrompre son tirage en juillet 1914 à cause du début de la Première Guerre mondiale, il reprend le 2 juin 1915. Le deuxième conflit mondial mettra un terme à cette publication : son dernier numéro date du 31 août 1939. Il changera plusieurs fois de sous-titres.

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