Extrait du journal

d’un pauvre pigeon dont les plumes sont restées dans les mains des yrecswx des croupiers de Rade et de Hombourg. Voici certains lions, (pie leur train, mal équilibré avec leur bourse, a forcés de rebrousser chemin avant la lin de leurs caravanes. Puis ce sont des riches blasés que l’ennui suit de poste en poste et ramène, de guerre lasse, au gîte où ils s’ennuient le plus à leur aise ; puis de ces pèlerines de l’ordre voyageur de Notre-Dame-de-Lorette, réduites, faute d’âmes charitables, à regagner piteusement leur cellule du quartier Breda. Enfin, c’est le moment où I un \ oit reparaître ces négocions dramatiques qui s’en vont chaque...