Extrait du journal

Bientôt tout le mon le est sur pied ; les gardes nationaux s’assemblent ; les officiers reprennent leur commandement Des omnibus remplis de cartouches arrivent, plus de soixante chevaux réquisitionnés conduits par les cochers, viennent a la rescousse pour ramener les canons qui le matin avaient été évacués, on va de l’a vent. A trois heures, les fédérés avaient réoccupé la rive droite de la Seine et ils avaient établi une batterie (b: 7 au bas du pont du chemin de fer. Cette batterie a réussi au bout d’une heur » de tir à éteindre le l’eu d’une mitrailleuse placée au château de Beconet qui tirait sans relâche depuis le matin. (Vérité.)...