Extrait du journal

de--sites les plus merveilleux qu’on puis-je rêver, et non loin du poète Jean Kaboul l’ami ae Lamartine, qui n’a écrit à peu près que « Fange et Ven * pnt » ce qui a suffi à sa gloire. Qu’on se représente une des allées de tilleuls, et de marronniers séculaires, en plein jardin de « La Fontaine ». En face, s’élèvent les ru nes séculaires du Temple de Diane dont la voûte audacieuse à moitié détruite fait encore l’admiration de nos architectes, A deux pas et en contrebas, parmi les rochers, bruit la source à côté de laquelle on croit voir encore au crépuscule es nymphes aimées de l’an u qui té, pu:s les galeries monumentales,admirablement cotiser fées où les belles romaines s’ébattaient parmi les eaux murmurantes. Alphonse Daudet qui, tout enfant, allait dans ce vieux liard n qu'il aimait lui, le minois « quand même », s’v retrouvera dans sa gloire. On l’y placera sans doute entre deux faunes de pierre, sculptés au temps; de Louis XV et qui de leur bonne figure souriante le regarderont comme un frère immortel....