Extrait du journal

Quand on se défie de la garde nationale, on u’aime pas l'armée. Les soldats sont «l< s hommes comme les gardes nationaux; eu qu’on redoute de ceux-ci, on le redoute naturellement des autres. Les gardes nationaux, il est vi ai, raisonnent davantage, sont plus indépendants et mieux renseignés sur la nature des actes du gouvernement ; mai.-) est-ce donc aimer et estimer le soldat «pie de ne le préférera la garde nationale que païen qu’on le suppose plus ignorant et plus aveugle dans son obéissance ?...