Extrait du journal

La conclusion logique serait que la France a le strict devoir, non seulement de payer l’échéance, mais les cent milliards, près de deux cents avec les Intérêts, restant à verser ! M. Herriot a oublié de dire que ces emprunts sont garantis par l’Etat américain, lequel a d’ailleurs par des taxes énormes, perçues sur les marchandises exportées en Europe (les prêts n’ont pas été faits en argent) encaissé des sommes considérables. Et aussi que, en sacrifiant les réparations allemandes, les EtatsUnis ont sauvé les milliards engagés par les banquiers américains. Es voudraient donc gagner sur tous les tableaux, si les poires se prêtent à ce jeu....