Extrait du journal

Messicuis, tes termes de l’accusation dirigée contre moi et les conférences que j’ai eues avec mus défenseurs, m'avalent convaincu de la simplicité de ma cause; elle mu p irais* lit restreinte uniquement à la discussion d’une question de droit que je devais aubin tonner aux avoua s chaivés le la résoudre. J’avais embrasse avec joue ce parti, si conforme à mes cuirs, et j’étais bien décidé à ne pas roui• pie le silence, lorsque le ministère public m’a forcement an aube à l’obscurité dans laquelle nés défenseur-, et moi nous voulions que je restasse personnellement, pour ne faire éclater que l'innocence de l’acte pour lequel je suis pour suivi. Je ne cherchais qu’à m’effacer complètement, lorsque l’attaque à laquelle j’ai etc eu bulle m’a fait un devoir de me montrer, pour me justifier aux yeux de mes concitoyens comme aux vôtres, Messieurs. Je regrette amèrement qu’un procès important à la vérité. cuis qui enfin pouvait se renne mer dans les bornes des débats judiciaire, ^ ait donné lieu à soulever des questions délicates, à remuer i«s passions, à causer peut être du scandale : je le regrette , mais je n*ai écus* à tue le reprocher : et, dèslois f m'y soumettait! avec résignai ton, J aboi de, sans plus long préambule, h » exp'icat ois qu'exigent de mot la position toute particulière dans laquelle ou m’a placé, et m.» opinions désarmées, mes principes méconnus , mes intentions calomniées, nus moindres actions inculpées, mon honneur enfin et mon caractère....