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La Vie littéraire, 4 octobre 1877

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La Vie littéraire
4 octobre 1877


Extrait du journal

là que le succès inévitable des 363 a déterminé M. Mézières à se couvrir de leur patronage, il se trompe. Moi qui connais l’homme, je me porte garant de son désintéressement. Et qu’aurait-il à gagner dans les événements que les élections prochaines nous font pressentir? certes, ce n’est pas une sinécure que les candidats ambitionnent ; ils marchent au périlplusencore qu’à l’honneur. Mais s’il entend qu’il a fallu l’évidence pour arracher à cet esprit impartial une éclatante condamnation des faits récemment accomplis, il dit vrai. Il y a en effet des sottises si impertinentes et des folies si dangereuses qu’elles révoltent l’âme la plus calme. C’est l’impression qu’ont ressentie tous le*^ hommes éclairés, et s’il leur faut du temps pour se décider descendredanslalutte,ilsn’en sortiront que vainqueurs, parce qu’il n’est padans leur nature de se résigner à un état de choses plus contraire encore au bon sens qu’à l’intérêt public....
La Vie littéraire (1875-1878)

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