Extrait du journal

et voisines en poésie au xvie siècle, et à Lyon même, telles que Jeanne Creste, Sibylle et Claudine Scève, Jacqueline Stuart et surtout Pernette du Guillet. Dans les premiers vers où Louisa Siefert épancha les plaintes de la fiancée trahie, il s’échappe en effet des jets de flamme analogues à ceux que lançait la vertueuse mais frémissante épouse du riche Ennerond Perrin. Prenons au hasard dans les Rayons perdus, livre initial de la pauvre morte : Toi qui fais mon souci, toi qui fais mon effroi (l’amour), Ton souffle impérieux a passé sur mon âme....