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La Vie nouvelle, 9 juillet 1926

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La Vie nouvelle
9 juillet 1926


Extrait du journal

On demande des hommes. Plus heureuse que le vieux Diogène, qui. malgré sa lanterne, n en avait pas découvert un seul, la Me nivelle enta trouvé quelques-uns. Mais, pour la Licite à accomplir, qu’est-ce qu’une poignée de bons ouvriers ? Cette làvlie est aussi dilUrile quelle est belle. Car il ne s'agit de rien moins que de détourner le protestantisme français des chemins où il s est, trop souvent, égaré et, top souvent encore, marche avec ceux qui le méprisent, tout en se servant de lui, et sont résolus, après l'avoir utilisé jusqu à épuisement, à l’abandonner au bord dit fossé, et de le ramener vers la route qu’ouvrirent les ancêtres, vaillants et glorieux, que deux siècles il a suivie, perdant son sang, mais gardant sa vie, et où il n'a et ne veut pour guide que le Christ. Sortir des chemins de l'anlichristianisme pour reprendre la route chrétienne, celte seule phrase formule les dp voies et montre le but, le but où le protestantisme français. l’ayant atteint, saisira seulement son propre salut....
La Vie nouvelle (1925-1940)

À propos

La Vie nouvelle est une revue protestante hebdomadaire, fondée à Montauban par le pasteur et journaliste Louis Lafon en 1893. Le journal fusionne avec Le Protestant en 1913 et paraît sous le titre Evangile et Liberté jusqu’en 1925, date à laquelle Louis Lafon lui redonne son titre initial : La Vie nouvelle.
 
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