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La Vie ouvrière, 5 janvier 1950

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La Vie ouvrière
5 janvier 1950


Extrait du journal

Mais voilà, déjà, que cette tactique patronale est mise en échec à Suresnes où les travailleurs de chez Latil ont fait lever le lock-out, grâce à la puissance de leur unité d’action. Ils ont obtenu la réouverture de l’usine pour la totalité du personnel, étant entendu qu’aucune sanction ne sera prise, que les heures perdues seront récupérées avec majoration des salaires de 25 %, qu'une prime d'inventaire de 500 francs sera payée à tout le personnel, ainsi qu’une revalorisation de la prime d’ancienneté....
La vie ouvrière (1909-1993)

À propos

La Vie ouvrière est une revue hebdomadaire syndicale illustrée proche de la CGT, créée en 1909 par des syndicalistes révolutionnaires parmi lesquels se trouve Pierre Monatte. Lors de la scission de 1921, la publication se rapproche de la CGT-U, dont elle devient l’organe officiel. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, elle continue à paraître de manière clandestine, sous la direction de Benoît Frachon. À la Libération, elle renaît officiellement et devient un des hebdomadaires les plus importants avec un tirage à plusieurs centaines d’exemplaires.

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Données de classification
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