Extrait du journal

Personne n’attache plus grands importance aux absurdités — gêné* oralement grossières — dont se composent quotidiennement ies feuillet, supervisées par M. François Coty. On demeure d’ailleurs effaré devant l’étalage de ces sottises monumentales, imprimées avec une inégalable superbe. .4,' surplus la majeure partie de la clientèle de Figaro ne lit que la seconde et la quatrième page de ce journal : la seconde parce que les < mondanités » y sont faites à. l'usage d'un public nettement déterminé dont feu Arthur Meyer, au défunt Gaulois, avait su former lis cadres ; la quatrième page parce que les actualités littéraires y sont abondantes tt confiées à des écrivains de talent. Mais la première page, celle où éclate l’inconscience géniale d’une pseudo-politique d'union, nationale, n intéresse plus ses ver. leurs d'autre. quant à /'Ami dit (Peuple, il coûte deux sous : on y...