Extrait du journal

En 1898, on avait acheté 1,100 artilleurs en Russie, et, en Hongrie, 400 artilleurs et 700 troupiers, le tout au meilleur marché. Il est clair que cette remonte ne valait rien. B , comme tous les ans, il en est de même, on peut être persuade que la cavalerie turque, comme chevaux, ne vaut pas gland chose. Si l’amour du cheval et l’aptitude cavalière se sont conservés jusqu’à présent en Turquie d’Europe, du moins le bon cheval, lui, en a disparu. Et, d’autre part, si le Gouveinement tributaire de l’étranger ne peut se procurer des c evaux en Asie Mineure où ils sont bons, c’est que le Bédouin méfiant ne veut pas faire crédit, même au Sultan, et de plus, Il demande de son bon cheval beaucoup de pièces d argent, beaucoup plus que le Russe de son médiocre animal....