Extrait du journal

L’an dernier, consacrant une série d’articles aux modifications qu’il convenait d’annoter au statut de l’armée coloniale, nous disions que l’un des défauts dominants de l’organisation actuelle était dans l’-'-tat de fait que voici : par suite de l’augmentation progressive du nombre des unités indigènes entraînant une augmentation parallèle des cadres, te nombre des officiers en service aux colonies est de beaucoup supérieur à celui des emplois existant dans les régiments de France. De là, pour la Départcuiofit de la guerre, l'impossibilité de placer dans ces régiments tons ceux des officiers rentrant des colonies, et obligés de dem.Mirer dans lu métropole jusqu au jour de leur affectation à un nouveau poste d'oulrt-mer. Et c’est ainsi que beaucoup de ces officiers se voyaient et se voient encore mis dans la position dite de la résidence libre, en attendant que leur ministère ait la faculté de les inscrire sur la liste de départ...