Extrait du journal

quant à nous,nous nous y sommes engagé et nous tiendrons parole : faute par M. le directeur général de tirer au clair toutes les choses pou propres qui se passent dans les prisons de la Seine et des autres départements, nous étalerons au grand jour de la publicité les faits et gestes des protégés de la Calotte — ils représentent les neuf dixièmes des hauts galonnés de son Service — qui se plaisent à faire une guerre au couteau à de malheureux citoyens que, pour un traitement de famine, l'on contraint à des présences quotidiennes plus qu'anormales, sans compter les trente-six heures de service ininterrompu qui reviennent tous les quatre jours et pendant lesquelles on leur interdit de s’asseoir, voire même de s’appuyer sur un objet quelconque....