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L’Ami du peuple, ou le Publiciste parisien, 29 juillet 1790

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L’Ami du peuple, ou le Publiciste parisien
29 juillet 1790


Extrait du journal

capitale, au sujet de l’inscription des citoyens actifs. Je n’aime pas à capituler sur les droits dont il est indispensable que le peuple conserve la plénitude. Or le premier de tous, celui qui constitue la souveraineté j et celui sans lequel il est impossible de conserver les autres consiste dans la liberté que doivent avoir tous les citoyens de s’assembler^lorsqu’ils le jugent à propos, et de rester assemblés^autant qu’ils le jugent à propos pour s’occuper de la chose publique. De ce principe découle nécessairement la permanence des districts ou assemblées | prime aires^premier point de constitution tout état libre....

À propos

Publié à partir du 12 septembre 1789, la parution regulière du journal pamphlétaire et pro-révolutionnaire L’Ami du peuple, rédigé, dirigé et imprimé par Marat fut souvent compromise à cause de poursuites judiciaires. Les propos parfois excessifs de son fondateur ont, en effet, mené parfois à des désastres, comme les massacres de septembre 1792. La publication sera contrainte de cesser de paraître le 21 septembre 1792, à la veille de la Première République.

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Données de classification
  • marat
  • plan
  • l x x v i.