Extrait du journal

Vous songez déjà, Alain Gerbault, n’est-ce pas, à votre prochain départ. Car vous repartirez, et vous ne reviendrez chaque fois que pour repartir. L’immensité vous appelle, et la solitude, et la vie libre et nue. et le besoin d’être votre maître unique. Qu’importe si, un jour, la mer, que vous aurez si longtemps domptée, obtient sa revanche ? Votre parti, j’en suis sûr, est pris depuis longtemps. Bonne chance, Alain Gerbault. Que la mer, comme notre admiration pour vous, vous soit douce et légère......