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L’Assemblée nationale, 6 mars 1856

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L’Assemblée nationale
6 mars 1856


Extrait du journal

» finition satisfaisante de la position de la » Russie dans la Baltique. Les délimitations • limitrophes de la Russie et de la Turquie dans » l’Asie-Mincure, seront probablement réglées » par une commission ; Kars retournera naturel» lement à ses anciens propriétaires. Un point » pour lequel la Russie, en toute probabilité, lut» tara fortement lors de l’examen de la quatrième » conditibn, sera la conservation de ses relations • avec l’Eglise grecque. Comme cette question » embrasse tout le litige, il n’y a pas lieu de • croire que les alliés aient l’idée de céder. Il » serait absurde de fermer solennellement la » Porte de la Turquie à la Russie, et puis de lui » en présenter la clé. Les points que nous avons » indiqués sont les seuls qui aient été réglés. » Espérons que ce sont les premiers pas faits vers » de nouveaux progrès. » Comme onlevoit, le journal ministériel anglais se montre en somme confiant dans le résultat des négociations. — Am. Pellior....

À propos

La Gazette de France refusant de publier l’adoption de la deuxième République à la suite des Journées de février, Adrien Lavalette fonde son propre journal une semaine plus tard, le 1er mars 1848. En quelques semaines, L’Assemblée nationale devient alors la voix la plus forte du camp révolutionnaire. Suspendu plusieurs fois, le journal est contraint de changer de nom. Il devient Le Spectateur en 1857, mais est interdit dès l’année suivante à la suite de l’attentat d’Orsini.

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