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L’Assemblée nationale, 17 mai 1855

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L’Assemblée nationale
17 mai 1855


Extrait du journal

princes lorrains dont elle était issue ; elle foula aux pieds ses serviteurs, abandonna lâchement ses amis, laissa ses partisans s’égorger entre eux, ou bliant le poids de sa couronne et sa dignité souve raine dans les bras de quelques favoris de bas éta ge, aussi vils que la fange d’où les avait tirés bob caprice et sa faveur.» ~ ~ On ne dira point encore, mon ami, que la Reine d’Ecosse, conspirant avec les nobles mécontents du pays anglais, était justiciable des lois de ce pays, et que, vassale de l’Angleterre, elle ne devait point, elle c’avait point le droit de fomenter la guerre ci-...

À propos

La Gazette de France refusant de publier l’adoption de la deuxième République à la suite des Journées de février, Adrien Lavalette fonde son propre journal une semaine plus tard, le 1er mars 1848. En quelques semaines, L’Assemblée nationale devient alors la voix la plus forte du camp révolutionnaire. Suspendu plusieurs fois, le journal est contraint de changer de nom. Il devient Le Spectateur en 1857, mais est interdit dès l’année suivante à la suite de l’attentat d’Orsini.

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