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L’Assemblée nationale, 26 février 1856

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L’Assemblée nationale
26 février 1856


Extrait du journal

Nous n’aurons rien à emprunter de plus, il faut l’espérer, pour liquider l’arriéré de la guerre; mais n’aurons-nous rien à demander pour les be soins de la paix, pour les mille projets d’amélio ration dont on parle? Là est la question, ou plu tôt il n’y a pas de question. Il faut écarter l'illu sion que beaucoup de personnes avaient eue, et que nous avions eue nous-même de voir consacrer aux œuvres de la paix l’excédant des ressources de la guerre. 11 n’y aura point d’excédant, et si la paix a besoin de ressources extraordinaires pour l’exécution des projets qu'on médite, c’est à l’emprunt encore qu’elle devra les demander. — V. Bonnet....

À propos

La Gazette de France refusant de publier l’adoption de la deuxième République à la suite des Journées de février, Adrien Lavalette fonde son propre journal une semaine plus tard, le 1er mars 1848. En quelques semaines, L’Assemblée nationale devient alors la voix la plus forte du camp révolutionnaire. Suspendu plusieurs fois, le journal est contraint de changer de nom. Il devient Le Spectateur en 1857, mais est interdit dès l’année suivante à la suite de l’attentat d’Orsini.

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