Extrait du journal

Mais le coup est toujours brutal quand on apprend la fin d un ami en jetant les veux sur les titres d une feuille d information. ( ar j'ai appris la mort d'Aime Rev en pan durant 1rs journaux du jeudi ‘Il octobre. J'ai senti un pincement au cœur, un froid dans la poitrine, un remous dans les entrailles. Je comprenais qu'il devait être finalement vaincu, mais je considérais que son agonie, sa fin. sa mort riaient une défaite qu'il n'avait pas méritée et qui aurait pu venir plus tard i 11 a lutte vingt années durant contre un mal qui lui ravageait la gorge et lui torturait la poitrine. Son courage opiniâtre, .sa volonté de vivre, les réglés qu’il s imposait. 1rs traitements qu il suivait déconcertaient ses proches. ses ami* et eea camarade* par I acharnement qu'il y mettait....