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L’Aurore, 14 mars 1900

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L’Aurore
14 mars 1900


Extrait du journal

: Pourquoi ne laisserais-je pas éclater ma joie, qui est immense 1 Tout s'arrange. Nous en sommes quittes pou* la peur. Une institution nationale nous est conservée. Un désastre national est heureusement conjuré. La trouve nationale de la Comédie-Française joue à l'Opéra, théâtre national, un spectacle éminemment national, composé du Malade imaginaire et du Bourgeois gentilhomme; le deuil national, qui menaçait d'assombrir l'Exposition, n'a pas duré quarante-huit heures. Toute sorte de choses nationales restent dans la circulation. Le ThéâtreFrançais renaît de ses cendres plus vivant et plus national que jamais. Merci, mon Dieu !...

À propos

Transfuge de L’Intransigeant, Ernest Vaughan fonde en 1897 L’Aurore. Cet organe républicain de tendance socialiste est d’abord animé par Georges Clemenceau. Son départ en 1906 réduit largement l’audience du journal. Il cesse de paraître en 1914. C’est en Une de L’Aurore qu’Émile Zola publie son célèbre article « J’accuse...! » le 13 janvier 1898.

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