Extrait du journal

Mais avec quel soin ne se gardait-il pas d'être un stratège en chambre 1 Si Déruulèdc a pu dire : « Je ne suis rien qu'un sonneur de clairon », notre dernier grand peintre militaire n’estimait pas que pour avoir été le civil le plus intelligent spis sc soit trouve en contact avec des officiers pendant un demisiècle. il fût en mesure d’enseigner l’art de la guerre au général Pau. il se bornait à chercher, près de ses amis de l’armée, la documentation nécessaire pour son pays, le pinceau à la main, comme il avait fait avec son fusil à tabatière de moblot en 1870. Laissant, dans l'histoire, à deux confrères, imbéciles et glorieux, David et Courbet, le privilège de débiter des âne ries politicomilitaires, il dessinait, avec la collaboration des techniciens de l’armée, la tenue pratique, celle dont la principale destination ne soit pas «le réjouir le sens esthétique des lionnes d’enfants. Vous savez le mot...