Extrait du journal

Ah i les bons apôtres ! Pas de }x>litique ! Via:®, si c’était possible, il vous faudrait tout la suite obtenir tm brevet pour ce moyen onirique je faire prospérer une infime partie i-: chaut qu’est la b rare, qui, lui, depuis toujours, niais surtout depuis a grande Révolution, n’a vécu et n’a ]>rogre-:s. que p«*t la politique. Lisez donc notre hier. re du Six- siècle, et en particulier celle de la troisième Rcpub*ique, et vous me direz s: la cause initiale de notre vie nationale si intense, de notre relèvement merveilleux après le terrible clé.astre ne se trouve pas dans nos luttes politiques qui ont permis à toutes les idées de se révéler, de s’entrechoquer, à toutes les bonnes volontés de se manifester, à tous les programmes de s’affirmer, et aux principes les meilleurs de s'établir pour le brin de tous ! Ou plutôt, non, ie la buez pa s ; vous la connaissez mieux que moi. Vous s vez mieux que moi que la chose commune et la fortune publique ne peuvent être régies que par la politique, et que si Véconomie privée ne relève que de chacun de nrn s, l’économe e sociale ne tire ses lois que de la politique. Et. parce que la politique nouvelle qu’on fait chez nous, ou tout au moins qu’on commence à faire, ne vous cornue ut pas, et pouce que vous sentez qu enfin cét 'tbusés et les yeux dessillés, les électeurs vous abandonnent, alors vous essayez d’une dernière manoeuvre : la politique n’est plus celle que nous désirons, ne faisons pas de politique 1 A qui ferez-vous croire cette aura chanson ? Ou vous* êtes des individualités ônri-scs de dévouement et d’amour vrai pour le pays natal, et alors vous voulez consacrer qui votre énergie, qui votre talent, qui vôtre fortune pour sa prospérité et, dans ce cas, nul besoin de groupements, nul besoin d’enrégimenter les niasses sous vos ban n èsJCS. vos efforts Uès méritoires peuvent se produire et aboutir séparément ; ou bien, ce qui e t beaucoup plus probable, vous c*e« ou vous croyez être des meneurs d hommes, de ceux qui savent que la chose publique, pour progresser dans un certain sens, a besoin des efforts combinés du plus grand nomb.e, et alors vous tâchez de grouper autour de vous le plus possible de partisans pour atteindre un but dissimulé et qui, assurément, vous sera profitable. Mais alors ne dites pus : Pas v.c politique ; on ne vous croirait pas. Comme, et avec raison, on ne peut pas vous traiter de déments, votre tactique sera t*t démasquée. « Pas de politique », dira le ben public, oui ; mais apparemment seulement, car, dans la coulisse, ils ne font que de la politique, de celle de jadis, rétrograde et ennemie de tout progrès, parce que le progrès, ce sont eux qui en paraient les frais....