Extrait du journal

f Voici cinq mois que Y Auvergnat de Paris s’imprime sur dix pages. Celte coûteuse augmentation de deux pages nous avait été imposée par de multiples causes. C’est en effet entre les mois de novembre et de mars que nos collaborateurs de province sont le plus assidus à nous envoyer des nouvelles, du fait probablement que les occasions sont moins nombreuses de s’absenter de chez eux et que les grandes vacances 11e des dispersent point pour la plupart loin de leur demeure habituelle ; c’est aussi en cette période que la publicité, indispensable pour permettre à un grand journal de vivre honnêtement, donne son plein rendement : c’est enfin durant celle saison hivernale que nos amicales et nos groupements professionnels sont en pleine activité et ont besoin de notre entier concours pour insérer leurs divers communiques, qui ont tenu parfois, dans certains de nos numéros, au cours des derniers mois écoulés, la longueur de treize et quatorze colonnes de journal....