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Extrait du journal
La plupart ont pensé que Y Au verauvergnat de Paris méritait qu’on le soutint pécuniairement, ils optonscienscieusement jugé que mon œuvre avait été utile, que c’était à elle qu’on devait, à Paris, l’union des compatriotes, puis, après rès avoir consulté leur porte-monnaie, après s’être rendu compte de l’état de leurs finances, ils m’ont envoyé les uns un billet de cent francs, les autres un billet de méfie, et ils se sont dit qu’ainsi était payée la dette morale contractée par la colonie envers Y Auvergnat de Paris....Espace abonnés
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