Extrait du journal

L’année qui finit me fut plutôt pénible ; presque au début,j'y fus victime d’un ridéj]e accident qui m’a rendu infirme pour jours, et, depuis, de nombreuses trisses sont venues m’affliger. Pourtant, au avers de la médaille, j’oppose, avec quelle fierté, son bon côté; j’établis discosensations, je pèse les insuccès et les réplats heureux, et la conclusion de mes 2tics calculs m’amène à constater que, si, îrsonneUement, j’ai eu à me plaindre quelquefois de 1900, mon journal et mes ivres n’ont eu, au contraire, qu’à s’en finement féliciter. Aussi, dois-je m’estimer relativement curieux, surtout lorsque je reçois, comme ver, par exemple, une lettre d’un confrère, ne je désignerai suffisamment en induvaut qu’il est le plus impétueux et le plus brillant qu’ait, depuis longtemps, produit , terre auvergnate, et qui se termine par este plainte lamentable et navrante, sis}re et presque vraie : « quant à moi, je ne me sens d’autre unitique de servir un jouijd’exemple, d’épouxmail, pour les jeunes gens qui seraient innés de faire du journalisme local. »...