Extrait du journal

devant le parti travailliste A la suite de la décision du parti travailliste mettant M. Mac-Donald en demeure de démis pionner, le premier ministre a écrit au sevré taire du Parti lui exprimant le regret de cette résolution et lui disant que si ses collègues et lui ont agi contrairement à la politique du Parti, ce fut pour éviter aux chômeurs une véritable gêne, puisque le maximum possible des allocations de chômage était ainsi main tenu. M. Mac-Donald a ajouté : « Je dois vous dire clairement que dans aucune cuir constance, je ne me conformerai à votre de mande, tant qr elle impliquera la désertion devant le devoir, que je considère impératif, c’est-à-dire protéger contre un sérieux désastre la grande masse des salariés de ce pays. Tout ce que je pourrai faire, répondant à votre résolution, sera possible quand j’aurai vache né la tâche entreprise, mais non avant....