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L’Avenir, 5 mai 1924

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L’Avenir
5 mai 1924


Extrait du journal

cité contre tonte attaque. Les événements l’obligèrent à assiéger la ville, à emporter les fortifications qu’il affirmait si efficaces. |[ donnait, en effet, des ordres à l’armée de Versailles, qui devait répi-imei1 la Commune. U fut Salis pitié envers les révoltés, qui pouvaient invoquer pourtant des circonstances atténuantes. Parmi les officiers, il en est un qui *e distingua par sa mansuétude : c’est le capitaine Boulanger. H fut. [dus lard, le lirait* général. Sa mort atteste qu’il fut toujours un .sentimental. Ce n'était pas le défaut «te Al. Thiers. On frissonne devant le nombre des citoyens qui furent sommairement exécuté** pendant la semaine sanglante. La Terreur fit moins de victimes. ()n ne s’étonne pas de trouver des pierres rouges, fies rubis, à la breloquechâtelaine de Mme Thb'i’s. H et naturel qu'elle en soit éclaboussée....
L’Avenir (1919-1936)

À propos

L’Avenir est une publication quotidienne, paraissant à partir du premier janvier 1919. Il remplace Oui, lancé une année auparavant par l’homme politique Henri Lilliaz pour lequel contribuait des personnes du monde politique et littéraire comme Pierre Laval et Henry de Jouvenel. Au moment de la création de la feuille, le député de droite Charles Chaumet en est le directeur politique de la publication et le journaliste Louis Latzarus le rédacteur en chef.

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